• Divers

    La 10ème édition de la Transat AG2R LA MONDIALE est une épreuve organisée par Pen Duick, avec la participation de la Ville de Concarneau pour le départ, de la Collectivité d'Outre-Mer de Saint-Barthélemy pour l'arrivée et avec la collaboration de la Fédération Française de Voile.

    Parrainage

    La Transat AG2R LA MONDIALE est parrainée par AG2R LA MONDIALE.

    Parcours

    Distance à parcourir : environ 3710 milles Départ de Concarneau. Marque de parcours à respecter : Porto-Santo (Archipel de Madère). Arrivée à Saint-Barthélemy.

    Concurrents / Bateaux

    La course sera disputée en double sur Figaro Bénéteau II. Seuls les bateaux répondant au règlement de monotypie de la Classe Figaro Bénéteau en vigueur seront admis à courir.

    Départ

    Dimanche 18 avril 2010.

    Expérience préalable

    L'épreuve est ouverte aux concurrents qui auront participé à au moins l'une des épreuves suivantes : la Transat AG2R LA MONDIALE, la Transat BPE, la Solitaire Afflelou le Figaro, la Route du Rhum – La Banque Postale, le Vendée Globe, la Transat Jacques Vabre ou qui pourront justifier d'un palmarès et/ou une expérience à l'appréciation du Comité d'Organisation. Le comité d'organisation se réserve également le droit d'imposer aux concurrents une navigation qualificative en double. Les décisions du Comité d'Organisation seront définitives et sans appel.

    Aides à la navigation

    Le routage ou l'analyse météo personnalisée sont interdits. Une déclaration sur l'honneur sera signée par le skipper lors de la confirmation des inscriptions à Concarneau.

    Fermeture de la ligne d'arrivée

    La ligne d'arrivée sera fermée 7 jours après l'arrivée du premier équipage.


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  • Divers

    Le Belem mesure 50,96 m de longueur de la poupe à la proue. Par beau temps et mer calme, il atteint une vitesse maximale au moteur de 9 nœuds, soit plus de 16 km/heure.

    Moi et le Belem à Concarneau (14.04.2010)

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  • Divers

    La Fondation Belem, reconnue d’utilité publique, est créée en 1979. Elle a pour mission de promouvoir le passé maritime de la France et de conserver dans le patrimoine national le trois-mâts barque Belem. Elle décide de faire du trois-mâts un navire école lors de son retour à la mer en 1985. Le navire est aujourd'hui armé par un équipage de 16 hommes, issus de la marine marchande.
    Depuis 1985, le Belem est de nouveau un navire-école. Il prend à son bord jusqu’à 48 stagiaires de tous âges afin de leur faire découvrir la navigation traditionnelle pour des stages de 2 à 10 jours. 
    Le voilier propose aux entreprises et collectivités une atmosphère unique pour des réceptions à quai.

    Photo prise à Concarneau (14.04.2010)


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  • Divers

    Le Belem est un trois-mâts français, construit en 1896 par les chantiers Dubigeon à Chantenay sur Loire, et destiné à une carrière marchande. Jusqu’en 1913, le Belem effectua de nombreuses traversées. En tout, 32 campagnes sont à son actif entre sa mise à l’eau et l’année de sa retraite.
    En 1914, le voilier est racheté par le Duc de Westminster, qui décide de le transformer en yacht de plaisance et il est donc doté de moteurs. Depuis ce rachat, le Belem n’a que très peu changé. L’intérieur a également été réaménagé pour répondre aux exigences du confort du yachting. La cale est alors aménagée en cabines, tandis que le pont est transformé en un salon vitré, décoré en acajou de Cuba. Pour le Belem commence alors une nouvelle vie, celle d’un luxueux navire de croisière.

     

     


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  • Les Glenan
    Près des cotes bretonnes
    , réputées pour leur beauté sauvage et leur crachin (Il pleut toujours en Bretagne, blabla...) il existe un archipel d’îles très différentes de l’image que le touriste se fait de cette (sublimissime) région française.Situées à environ dix milles au large de Concarneau, les Glénan sont le reste d’une chaîne de montagnes formées à l’ère primaire, il y a 500 millions d’années.

    L’archipel est composé de huit îles habitées ou habitables, de cinq autres îles et d’une multitude d’îlots, de roches et de récifs.

    A part l’île des moutons, située plus prés des cotes, les autres îles de l’archipel forment un cercle sur un haut fond de sable clair et de maërl (débris d’algues marines imprégnées de calcaire souvent mélangé avec du sable et des débris coquilliers.). Ces îles délimitent un plan d’eau abrité surnommé “le lagon”. La mer y est particulièrement limpide et peu profonde (moins de 2m à marée basse !), le sable blanc… on se croirait dans les caraïbes !! (C’est vraiment surprenant !)

    L’archipel n’est pas habité, à part par le célèbre Centre Nautique des Glénans (avec un S cette fois), et le Centre International de Plongée (CIP). L’été, des bateaux ravitaillent les îles en eau potable et nourriture. L’électricité est assurée par une éoliennepanneaux solaires. Les déchets sont évacués par une barge.

    L’été, Saint Nicolas, l’île la plus fréquentée, est reliée par navette au continent. Les touristes peuvent y profiter du soleil (plus fréquent que sur la cote), des plages paradisiaques, de deux petits bistrot-restaurants et d’une cabine téléphonique. Par contre ils doivent repartir le soir car aucun hôtel ni camping ne sont prévus pour les accueillir. Cela préserve le coté sauvage de l’archipel, même en été !

    Les autres îles sont privées, mais on peut y accéder si l’on est en bateau. Le centre nautique tolère les promeneurs sur les îles qu’il occupe, à condition qu’ils restent sur les chemins. La préservation de la faune et de la flore est la priorité des Glénan.

    On y trouve d’ailleurs à Saint Nicolas, la plus petite réserve naturelle de Francele Narcisse des Glénan. L’archipel est aussi classé réserve de pêche sous-marine. (1.5ha) pour protéger


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